Des mots rouges, chuchotes dans l'oreille
Les penombres embrassent la naissance d'une merveille...
Les seins tremblent sous mains qui carresent
Les dents mordent avec tant de tandresse.
Les souffles s'efondent sur la chaleur des peaux
Le temp semble s'être arreté un peu...
Des larmes baignent les yeux et les joues
Les ongles s'efoncent dans la chair de ton cou...
Les corps s'abandonnent aux draps posés sur la terre
Viens, embrasse-moi, ton amante, ta soeur et ta mère...
Moi j'embrasse,
Tu caresses...
On tombe dans les vide de nos propres plaisirs
On se noie dans les draps et désirs...
[N.]
Monday, November 26, 2007
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3 comments:
Jolie poeme! C'est toi qui les ecrits tous?
Oui. Quasiment tous ce qu'il y a sur ce blog est une creation personnelle.
C'est du surréalisme ?!
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